18 réflexions au sujet de “Sans titre,”

    1. Merci Colette
      titre ou sans titre
      sous chacun de mes articles
      chacune de mes photos
      inlassablement
      tu déposes tes fleurs de mots

      Je crois que tu as déposé ici tes prières

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  1. Pour toi Margi ces mots déposés sous ton commentaire d’hier sous l’article « Sans l’oiseau »

    « comme Diego nous serons toujours libres dans notre tête même derrière des barreaux, des barbelés
    Libres pour quelques mots pensés si fort quand dehors
    Oui dehors, il fait couleur d’automne et des milliers d’oiseaux s’envolent sans effort
    Nous serons toujours plus forts »

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    1. Oui Max Louis l’essentiel est là-bas
      Voilà pourquoi en passant devant cette fenêtre plus ou moins barricadée j’avais tant envie d’entrer ou , au moins, voir et entendre ce qui se passe à l’intérieur …

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  2. Il n’y a plus personne à l’intérieur… la maison se protège des indésirables, les habitants ont fait comme l’oiseau, ils n’ont pas perdu la tête, ils ont préféré s’envoler…
    (ou se cacher sous un épais matelas de nuages)

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  3. C’est bizarre, ce fil de fer barbelé ainsi tourné fait penser à une glycine ou plutôt à des épines de rosiers sauvages, et il est plein de poésie. Les couleurs se marient pour former un ensemble doux et apaisant, et l’aspect vieillot est plus chaleureux qu’effrayant – sans doute grâce à la luminosité. En fait on ne voit pas une maison ni une fenêtre, mais une œuvre d’art qui a sa propre cohérence.

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    1. Barricade… où sont les insurgés ?
      Confinés?
      Au loin je vois « Gavroche, complètement envolé et radieux, il se charge de la mise en train. Il va , monte, descend , remonte ,bruisse, étincelle, il semble être là pour l’encouragement de tous. … »

      Bon samedi Daniel

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  4. Une liane barbelée
    des barreaux rouillés
    les carreaux sont cassés
    et le bois rongé
    MAIS
    toujours il restera
    le travail de ces « gens la »
    œuvrant avec courage
    laissant les traces de leur passage
    le bois se souvient de la forêt
    le fer du feu du creuset
    et la liane enquiquineuse
    ne se voulait qu’enjôleuse
    Regarde sur le sol
    le sable de la vitre qui vole…
    Rien ne se crée tout se transforme
    demeure la seule révolution

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  5. Un air de camp de concentration, l’homme tel du bétail, une époque bien plus pénible que notre « enfermement » d’aujourd’hui, tenu au kilomtre et à l’heure, nous avons chez soi, télé, jeux et livres pour s’évader, du pain, un vrai toit… ,-)

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