Dans ton pays les rivières débordent étrange mélodie ballade incertaine la mort à notre naissance nous avait dit pense à mon rendez-vous Sur ma mer de mots j’ai composé pour toi en notes d’écume une musique gravée sur ce micro-sillage qui avance et tourne sans fin sur le gramophone de l’histoire. Est-ce tourner en rond telle l’errance du soufi qui cherchant la voie d’élévation spirituelle tourne tourne pour que sa ballade reste toujours à écrire dans l’harmonie de ses sillons? Il pleut fort sur ta ville et la rivière rouge déborde embarcation fragile de mots pour te dire que je t’aime
Magnifique poésie qui me touche particulièrement …
Certaines villes de mon Québec sont gravement touchées par la crue des eaux, provoquée par trop de pluie en peu de temps.
Aux nouvelles, certaines personnes âgées refusent d’abandonner leur maison malgré l’inondation ; c’est triste, mais je les comprends.
Merci Jama pour la tendresse de tes mots portée par de magnifiques images…
Je vois ici, un petit voilier d’espérance.
Merci ma belle…J’en suis d’autant plus touchée, que tu aies pris ce temps pour exprimer ta solidarité. Au bout de ma rue, il y a la rivière mais heureusement nous ne sommes pas touchés par sa montée.
Je t’envoie mon amicale tendresse…
Manouchke
Si inondé(e), monte dans ce joli petit voilier sans tarder !
Un billet qui nous rejoint, gens d’ici du Québec !
C’est tellement bien dit !
Comme c’est gentil !
Merci !
Les mots, frêle esquif portant nos pensées vers les maux pleuvant du ciel ! S’ils tournent et tourbillonnent ils perdent la direction choisie et reviennent au centre, là d’où ils sont partis… Ils comprennent alors qu’on ne parle jamais qu’à soi-même.
Mâyâlîlâ je vois les mots comme des oiseaux, posés sur l’eau ou sur un petit bateau, ils sentent avant nous les déséquilibres, le danger, ils se regroupent et s’envolent et lorsqu’ils s’envolent la direction qu’ils nous donnent est la bonne
Naissance de l’eau
Mort d’un glaçon
Faut-il mourir
Pour naître
une chose est certaine il faut naître pour pouvoir mourir
J’ai posé mon bateau
Sur les eaux d’un ruisseau.
Les flots ont dilué
L’encre de mes pensées…
C’était un bateau
Un bateau de papier…
Marie
Marie ta poésie donne une belle réponse
Magnifique poésie qui me touche particulièrement …
Certaines villes de mon Québec sont gravement touchées par la crue des eaux, provoquée par trop de pluie en peu de temps.
Aux nouvelles, certaines personnes âgées refusent d’abandonner leur maison malgré l’inondation ; c’est triste, mais je les comprends.
Merci Jama pour la tendresse de tes mots portée par de magnifiques images…
Je vois ici, un petit voilier d’espérance.
En toute amitié
Manouchka
Manouchka cette page est pour toi
Merci ma belle…J’en suis d’autant plus touchée, que tu aies pris ce temps pour exprimer ta solidarité. Au bout de ma rue, il y a la rivière mais heureusement nous ne sommes pas touchés par sa montée.
Je t’envoie mon amicale tendresse…
Manouchke
Je n’avais pas vu le lien de Rivière Rouge…
Merci également pour cela …
Tu es un 😇
😉
Quel joli message !
Merci Gibulène
Si inondé(e), monte dans ce joli petit voilier sans tarder !
Un billet qui nous rejoint, gens d’ici du Québec !
C’est tellement bien dit !
Comme c’est gentil !
Merci !
🌅
Les mots, frêle esquif portant nos pensées vers les maux pleuvant du ciel ! S’ils tournent et tourbillonnent ils perdent la direction choisie et reviennent au centre, là d’où ils sont partis… Ils comprennent alors qu’on ne parle jamais qu’à soi-même.
Mâyâlîlâ je vois les mots comme des oiseaux, posés sur l’eau ou sur un petit bateau, ils sentent avant nous les déséquilibres, le danger, ils se regroupent et s’envolent et lorsqu’ils s’envolent la direction qu’ils nous donnent est la bonne