Volubiles, je les entends parler au-dessus du grillage et par-delà la claustra.
Conversations futiles sur le devenir de la couleur de leur robe et sur leurs nombreuses circonvolutions pour toujours grimper plus haut.
Éloquentes, grandiloquentes, volubiles elles ne livrent pourtant que peu d’elles-mêmes en agitant autour d’elles de vives couleurs comme autant de leurres qu’exigent leur pudeur.
Mesdames, en fait, sont des simples trop grêles et fragiles qui grimpent et enlacent avec beauté ceux qui veulent bien les soutenir, leur donner un appui.
Alors elles entortillent et arrivent ainsi à obtenir ce qu’elles espèrent : s’élever plus haut.
volubilis et capucines
Comme un enfant orphelin à besoin d’un tuteur… ici le grillage n’est pas prison; il est leur bâton de jeunesse… 😉
Vu comme ça Jill
À toi de réécrire l’histoire!
Bon mardi
A moi de… soit, tu l’auras voulu 😉
Derrière les planches,
Fleurs cabotines aiment se faire voir…
Derrière les grillages,
Des autres
Font de l’ombre aux poules…
Volubilis et capucine se volent la vedette
Chez la mère Denis !
Ah Jill, merci
je te reconnais bien là:
ta poésie observatrice, ton humour et ton amour inconditionnel pour la mère Denis: ta voisine …
mais au fait as-tu une lave linge Vedette?
Non… « Electrolux » qui lave et sèche, gain de place…. en appart !
Yes Jill!
La mère Denis te pardonne….