6 réflexions au sujet de “Variation 8.”

  1. Je crois qu’il y a beaucoup de monde dans ton cas, Jam. Je me sens suis impuissante et démunie devant l’horreur qui est et qui vient. Seul réconfort, les élans de générosité. Mais que n’a-t-il pas eu lieu quand d’autres bourreaux martyrisaient leurs peuples il n’y a pas si longtemps. Je pense évidemment pour le plus récent aux Afghanes et aux Syriennes. Mais aussi aux femmes du Yémen et d’Erythrée. Et la liste n’est pas close …

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      1. Je ne sais pas… une réponse serait que nous nous sentons sans doute plus proches, plus vulnérables aussi, moins à l’abri.
        Ce n’est pas une excuse, nous n’en avons pas.
        Cependant, la situation est autre. Ici, les réfugiés sont des femmes, des enfants, les hommes sont restés parfois contraints, souvent par choix. Ils se battent, résistent pour leur pays, ils espèrent que les femmes, les enfants, reviendront. Je l’espère aussi.
        J’aime la citation que tu as choisie.
        La mienne aurait été autre « la poésie est une arme chargée de futur. »
        Il arrive que le poète n’ait que des mots, toi, tu as davantage ici.

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