
Comment réussir son compost…
Si on arrive à écrire en cent mots, 100 maux petits ou gros qui jalonnent ou ont jalonné notre chemin, on pourra les mettre au fond de notre composteur ou même les brûler pour qu’ils se transforment « en fin » et deviennent amendement
ça ne coûte rien d’essayer: les redondances, les synonymes, les descriptions de ces maux, les maux anciens, très anciens, les nouveaux maux tout nouveaux dus au temps qui passe, sont permis et même préconisés.
Il faut partir avec un bon crayon, de bons souliers bien lacés …ce sera comme le début d’un chemin de Compost-elle….
Ainsi donc mes cent maux ont trouvé écho … je vais me mettre au compost des maux, j’ai tout ce qu’il faut , et j’y rajoute un grand bol de thé beauté…. à partager avec tous.
ah ah ! te voilà partie vers une belle aventure!
Bisou Catherine bonne journée dans ta neige immaculée.
Sous la neige,
le thym, la sauge et la sarriette
le printemps des fleurs bonheur
et des herbes tendres
la somme des impossibles
Plus qu’un tapis qui cache des miettes
plus qu’une chemise de baptiste
avec dentelle autour du cou
une couche pour un doux repos
couche de neige épaisse
qui craque sous tes pas
et qui cache des cristaux qui luisent
comme souvenirs quelque peu mélancoliques
lucioles feux follets qui brillent et te guident.
Jolis jeux de mots… finalement, tu as sans doute raison.
Nous devons pouvoir nous extraire de nos maux/mots et en faire le ferment de nouveaux rêves.
Merci. 🙂
Fermentation =transformation
Les rêves sont « à venir »
Bisou Quichottine