12 réflexions au sujet de “Par ma fenêtre, le vent …”
Ce drap blanc s’envolant à tire d’aile rejoindre les nuits brèves leurs rêves et les nuages pas toujours sages ressemble à un ange n’est-ce pas étrange ?
Après les noirceurs de la nuit le jour se lève à petits bruits
Entends-tu chanter les oiseaux ? mes oreilles me font défaut j’imagine la musique celle du vent et de l’océan
Magnifique poème. Le grand drap qui s’envole au vent, j’y vois nos ennuis et nos peines que le vent emporte au loin pour nous soulager et nous rendre notre liberté. Bon après-midi. Daniel
Quel merveilleux blanc dans cette immensité de bleu ! J’aimerais m’y enrouler léger, me laisser dorloter , me laisser voyager vers des terres accueillantes comme tous ces oiseaux fuyant le froid et sans doute les hommes.
Oh ! Mais comme c’est BON, Jamadrou !!!
C’est tellement imagé, que l’on te voit lancer le tout !
Quelle Pénélope tu es, oui, en effet !
Tout comme elle, il te faudra « re-tricoter »
pour pouvoir lancer à nouveau dans l’attente des beaux jours.
Une nappe blanche qui joue les filles de l’air, un vent complice et la voilà voile en quête d’un mât… A quoi bon la retenir, les tables se sont vidées de leurs convives, les dimanches comme du désert…
Hummm, un philosophe chinois a dit : Qui vois le ciel dans l’eau, vois aussi des poissons dans les arbres… Si en plus il y a des draps et des nappes… je crains le pire.
Plus sérieusement, c’est un très beau poème !
Ce drap blanc s’envolant à tire d’aile rejoindre les nuits brèves leurs rêves et les nuages pas toujours sages ressemble à un ange n’est-ce pas étrange ?
Après les noirceurs de la nuit le jour se lève à petits bruits
Entends-tu chanter les oiseaux ? mes oreilles me font défaut j’imagine la musique celle du vent et de l’océan
Je rêve d’océan mais ne le vois pas
Les oiseaux sont là attentifs et tranquilles, la mésange bleue m’a souri
Magnifique poème. Le grand drap qui s’envole au vent, j’y vois nos ennuis et nos peines que le vent emporte au loin pour nous soulager et nous rendre notre liberté. Bon après-midi. Daniel
Merci et toi aussi Daniel bon mardi et que le nuage blanc chargé de nos peines s’envole au loin
Quel merveilleux blanc dans cette immensité de bleu ! J’aimerais m’y enrouler léger, me laisser dorloter , me laisser voyager vers des terres accueillantes comme tous ces oiseaux fuyant le froid et sans doute les hommes.
Alors Balaline rêvons de ce grand oiseau migrateur blanc et partons avec Nils Holgersson pour un Merveilleuse Voyage
Oh ! Mais comme c’est BON, Jamadrou !!!
C’est tellement imagé, que l’on te voit lancer le tout !
Quelle Pénélope tu es, oui, en effet !
Tout comme elle, il te faudra « re-tricoter »
pour pouvoir lancer à nouveau dans l’attente des beaux jours.
En ce moment j’ai l’impression de tricoter dans le vide Colette
Une nappe blanche qui joue les filles de l’air, un vent complice et la voilà voile en quête d’un mât… A quoi bon la retenir, les tables se sont vidées de leurs convives, les dimanches comme du désert…
Oui Jill à quoi bon?
Hummm, un philosophe chinois a dit : Qui vois le ciel dans l’eau, vois aussi des poissons dans les arbres… Si en plus il y a des draps et des nappes… je crains le pire.
Plus sérieusement, c’est un très beau poème !
Yes!
Merci