En voyant la peinture proposée je me disais bien que… mais brodons encore, l’imaginaire est sans limite… La vie oui c’est comme un mer bleu traversée par des tempêtes, la mort en fait partie, les larmes de l’orphelin sont si touchantes… merci, JB
C’est vrai que les images que nous croisons ne veulent pas toujours dire la même chose, comme les mots, je crois.
Nous lisons, nous regardons, pas seulement avec nos yeux, il y a tout ce qui nous importe, tout ce qui nous trouble ou nous soucie.
Merci pour tes mots, Jama.
Passe une douce journée.
j’aime les toiles de Franz Marc et ces chevaux…
celle -ci me perturbe car je n’ai jamais réussi à déterminé si ce rayon vert était bénéfique ou maléfique… comme je le disais à Adamante cette toile me fait penser au Dormeur du Val !
J’ai vu le rayon vert une fois au bout de l’île et il m’a paru tellement beau qu’il ne pouvait être maléfique.
La vie est ainsi qu’elle nous entraîne avec ses tourbillons et ses turbulences aussi je me coule dans ton premier écrit avec toute sa tendresse et son espérance.
En voyant la peinture proposée je me disais bien que… mais brodons encore, l’imaginaire est sans limite… La vie oui c’est comme un mer bleu traversée par des tempêtes, la mort en fait partie, les larmes de l’orphelin sont si touchantes… merci, JB
Merci Jill
oui les larmes salées de l’orphelin se mélangent et se perdent dans l’immensité de l’océan
C’est vrai que les images que nous croisons ne veulent pas toujours dire la même chose, comme les mots, je crois.
Nous lisons, nous regardons, pas seulement avec nos yeux, il y a tout ce qui nous importe, tout ce qui nous trouble ou nous soucie.
Merci pour tes mots, Jama.
Passe une douce journée.
🙂
j’aime les toiles de Franz Marc et ces chevaux…
celle -ci me perturbe car je n’ai jamais réussi à déterminé si ce rayon vert était bénéfique ou maléfique… comme je le disais à Adamante cette toile me fait penser au Dormeur du Val !
Oui comme le dormeur du val, dans son trou de verdure chante une rivière, accrochant follement aux herbes sa lumière , sa mort crie la vie.
J’ai vu le rayon vert une fois au bout de l’île et il m’a paru tellement beau qu’il ne pouvait être maléfique.
La vie est ainsi qu’elle nous entraîne avec ses tourbillons et ses turbulences aussi je me coule dans ton premier écrit avec toute sa tendresse et son espérance.
Tu as trouvé Balaline la version qui convenait à ta propre espérance ; assise sur le rayon vert vole par delà ton île
Merci
Bonsoir Jamadrou,
Admirablement bien relevé, ton défi !
Superbes, tes mots pour décrire cette peinture !
J’adore !!!
😘🌹💙
Que te dire Colette?
Douce soirée
🙏
J’aime beaucoup tes deux textes…
En particulier le premier me parle beaucoup
Alors le petit poulain a perdu sa maman
il avancera seul.
Merci Marie.