L’oiseau dont je rêve toujours est celui qu’Apollinaire a décrit ainsi (dans « Cortège »):
« Oiseau tranquille au vol inverse oiseau
Qui nidifies en l’air »
C’est cet oiseau sur ta photo qui semble ne plus appartenir à la terre et dont le vol semble figé dans cette ouverture de l’instant, ce vol plané… éternel.
Peut être Mayalila est-il ici cet oiseau « dans cette ouverture de l’instant, ce vol plané … éternel » « à la limite où brille déjà sa mémoire »
Il ferme ses yeux éblouis par « ce feu oblong dont l’intensité va en augmentant jusqu’à ce qu’il devienne un jour l’unique lumière »
Maintenant, Nous regarderons cette peinture différemment , merci.
🤗
Bel instant que de lire tes mots, Jamadrou !
(l’envers du monde
l’envers des mots)
parfois bien, que de les voir d’en haut pour en revenir les pieds sur terre
à l’endroit du monde et des mots.
Je me suis régalée du poème, de tes mots, des mots des autres en réponse… il me reste à réécouter les chansons. 🙂
Ne pas se tromper d’oiseau en s’envolant…
Peu de mots pour tout dire. Bonne journée Jamadrou. Daniel
☺️
Quel beau poème, il m’a immédiatement fait penser à cette chanson sublime :
Belle journée
Bravo!
Cette chanson trotte souvent dans ma tête
Écoute l’interprétation de cette jeune artiste: https://youtu.be/fyMkoB29INQ
Savoureux !!!!
😉
Merci Jamadrou de me l’avoir remise en tête 💙💜🧡💛
libre comme l’oiseau tu chantes de là-haut et tu peux voir la mer …sans tous ces informations qui nous désespèrent
Oui oui Josette de là-haut je pratique la distanciation médiatique et n’écoute que le chant de l’air qui glisse sur mes ailes…
😉🕊
L’oiseau dont je rêve toujours est celui qu’Apollinaire a décrit ainsi (dans « Cortège »):
« Oiseau tranquille au vol inverse oiseau
Qui nidifies en l’air »
C’est cet oiseau sur ta photo qui semble ne plus appartenir à la terre et dont le vol semble figé dans cette ouverture de l’instant, ce vol plané… éternel.
Oui, la chanson que tu mentionnes est magnifique, et surtout chantée ainsi.
Peut être Mayalila est-il ici cet oiseau « dans cette ouverture de l’instant, ce vol plané … éternel » « à la limite où brille déjà sa mémoire »
Il ferme ses yeux éblouis par « ce feu oblong dont l’intensité va en augmentant jusqu’à ce qu’il devienne un jour l’unique lumière »
Maintenant, Nous regarderons cette peinture différemment , merci.
🤗
Bel instant que de lire tes mots, Jamadrou !
(l’envers du monde
l’envers des mots)
parfois bien, que de les voir d’en haut pour en revenir les pieds sur terre
à l’endroit du monde et des mots.
Je me suis régalée du poème, de tes mots, des mots des autres en réponse… il me reste à réécouter les chansons. 🙂
Ne pas se tromper d’oiseau en s’envolant…