il est le jour il est la nuit il est le sombre il est la clarté il est le rond il est l'anguleux il est la couleur il est le noir et blanc il est figuratif il est abstrait il est.
La dualité qui est la contradiction de l’unité en est aussi la conséquence. C. Baudelaire
Chacun trouve dans les mots , les dessins, les peintures ce qu’il a envie Max et quelquefois ce qu’il cherche..
d’où l’intérêt des commentaires de chacun
Merci à toi
Je ferai de mes souvenirs une bastide érigée sur les racines du vent et d’une ombre très amalgamée par liaisons d’avec une souche sans amertume, nous y survivrons.Vois, porteuse de vie à l’auréole d’un sein très sûr.
Ô souffleuse de sons sur l’air de l’imaginaire, sursis des regards apeurés sortis d’une naissance sans ambages, je te regarde et je persiste.
De cette trousse nous en sortons des effigies, du pourtour de la grève un hurlement lointain nous fit songer à d’autres lieux, rugissements d’un dragon mort, il en reste des paysages très chers.
Et pour deviner, une fois encore, les accords que préféraient les horizons sans démons, nous nous mîmes à rassembler les quelques devises sous l’arbre des saisons.
Puis la résonnance, comme une perle de nacre, fit la semence sur un grand galet sombre, comme si les ondes de la lumière l’eussent réduit si lisse qu’aucunes pousses n’en puissent plus égrener le fond.
Un soir, nous nous assîmes près du feu, les lucioles en silence se hâtèrent vers ce qui semblait n’être que des oiseaux couleur d’ambre, similitude d’un vol loin des contrées épuisées.
Leurs aires aux combles des déclinaisons, contes à l’orée de royaumes in-imaginés ; comme des créatures oubliées tourmentant l’orage, elles tournoyaient autour d’un feu follet ; leur regard était de soie jaune.
Mr Asti , j’aurais préféré un lien discret vers votre article (par respect pour votre prose je ne la supprime pas )
ainsi qu’un commentaire inspiré par mon billet du jour
Une superbe illustration de la dualité tant en mots qu’en illustration . J’aime beaucoup ce qu’elle suggère aussi cette intériorité et cette fuite vers l’extérieur , cette mise en abîme et cette fuite infinie . Bref , j’adore
Bonne journée
Bises
Bon jour,
Pour ma part, le mot : dualité, a un aspect négatif …
Max-Louis
Merci Max-Louis
Dualité duel ?
Je pense que nous avons en nous deux faces…la vie est une quête
« une quête » ? Ah ? Me suis-je égaré ? D’ailleurs, qu’importe … 🙂
Chacun trouve dans les mots , les dessins, les peintures ce qu’il a envie Max et quelquefois ce qu’il cherche..
d’où l’intérêt des commentaires de chacun
Merci à toi
Yin et Yang, opposé et complémentaire… n’avons nous pas deux visages, selon les circonstances 😉
Vois-tu cela dans ce dessin Jill?
Bon après midi
le cercle et la droite, rond ou carré… le bien et le mal, docteur Jekyll et Mr Hyde et ente les deux toutes les nuances possibles !
Ah Josette les nuances! Tact , non violence ou prudence?
Il est intérieur il est extérieur
Ce dessin laisse deviner les deux en effet Colette
😊
MEDIAIRES D’UN FEU FOLLET
Je ferai de mes souvenirs une bastide érigée sur les racines du vent et d’une ombre très amalgamée par liaisons d’avec une souche sans amertume, nous y survivrons.Vois, porteuse de vie à l’auréole d’un sein très sûr.
Ô souffleuse de sons sur l’air de l’imaginaire, sursis des regards apeurés sortis d’une naissance sans ambages, je te regarde et je persiste.
De cette trousse nous en sortons des effigies, du pourtour de la grève un hurlement lointain nous fit songer à d’autres lieux, rugissements d’un dragon mort, il en reste des paysages très chers.
Et pour deviner, une fois encore, les accords que préféraient les horizons sans démons, nous nous mîmes à rassembler les quelques devises sous l’arbre des saisons.
Puis la résonnance, comme une perle de nacre, fit la semence sur un grand galet sombre, comme si les ondes de la lumière l’eussent réduit si lisse qu’aucunes pousses n’en puissent plus égrener le fond.
Un soir, nous nous assîmes près du feu, les lucioles en silence se hâtèrent vers ce qui semblait n’être que des oiseaux couleur d’ambre, similitude d’un vol loin des contrées épuisées.
Leurs aires aux combles des déclinaisons, contes à l’orée de royaumes in-imaginés ; comme des créatures oubliées tourmentant l’orage, elles tournoyaient autour d’un feu follet ; leur regard était de soie jaune.
M.A
Mr Asti , j’aurais préféré un lien discret vers votre article (par respect pour votre prose je ne la supprime pas )
ainsi qu’un commentaire inspiré par mon billet du jour
Une superbe illustration de la dualité tant en mots qu’en illustration . J’aime beaucoup ce qu’elle suggère aussi cette intériorité et cette fuite vers l’extérieur , cette mise en abîme et cette fuite infinie . Bref , j’adore
Bonne journée
Bises
merci Gisèle ton com apporte un bel éclairage sur ce billet
Bel après midi
J’avoue que je m’y perds… mais j’aime beaucoup ce qu’en dis Jazzy.