Sauve qui peut, la terre brûle !
Vous ne me verrez plus pendant un moment.
Ne vous inquiétez pas je ne serai pas loin, juste là derrière la porte de fumée grise, dans le brouillard et la brume.
Je serai au chevalet en train d’effacer le noir et les cendres, la douleur et les larmes, je serai là où le temps et l’espace n’existent plus, je serai en train de repeindre le monde,
Je suis prise dans les filets de la couleur.

:o)
je voulais dire 😮
Et si tu changeais les couleurs de ce monde, celles du ciel, de la mer, de l’herbe et des fleurs, de l’ombre et de la nuit, du soleil, de la lune et des petits bonhommes qui peuplent cette terre ?
Juste pour une fois, juste pour un autre rêve !
Ma peinture racontera peut-être tout ça Balaline.
Elle est libre et imprévisible et s’en va sur des chemins que moi-même je ne connais pas…
Merci pour ta suggestion qui pourrait devenir inspiration. 🙂
Bravo. On attend ton retour !
Patience MÂYÂLÎLÂ
Tu écoute Guy Béart Jamadrou
déjà il voulait changer les couleurs du temps…
Khalil Gibran écrivait : « cependant l’intemporel en vous est conscient de l’intemporalité de la vie,
Et sait qu’aujourd’hui n’est que le souvenir d’hier et demain, le rêve d’aujourd’hui »…
je rêve déjà à ton tableau
Rêvons Josette pendant qu’il en est encore temps
Merci pour tes mots qui résonnent comme encouragement.
On refait le monde autour d’un verre, d’une bouteille, au café du coin, avec des mots, des paroles en l’air puis on rentre chez soi… Ici cela sera au moins concret sur la toile, @+
Concret sur la toile bien encadrée
Virtuel sur la toile du Web…
@+ Jill
Tu vas t’en sortir avec éclat, Jamadrou !
À bientôt !
Qui vivra verra Colette
Au bout du pinceau les couleurs chantent la vie!
Parfois grises ou noires mais il y a toujours sur la palette des rouges, des verts, des jaunes et des bleus pour jouer des notes d’espérance
Merci Marie
Je ne t’entendais plus…je te croyais en voyage.
Les couleurs titillent les pinceaux et quand les pinceaux dansent les gens autour de moi s’effacent.
Ouffff !
Je croyais que tu ne pouvais plus nous voir en peinture, que tu étais au bout du rouleau… Mais en fait, non, c’est au bout du pinceau !
Amuse-toi bien, alors. Tchüss !
Ah ah! Yannucoj bien dit tout ça!
Je me mélange un peu les pinceaux entre écriture et peinture alors …
À+ Yann
Bon voyage Jama au pays des couleurs et toutes celles que tu inventeras
en y mariant les nuances…!
À bientôt
Manouchka
Tous les sentiments ont une couleur Manouchka et l’émotion en est, une des nuances
Je les attends donc! Je suis en train de lire sur la couleur et la musique. Il y a des gens qui voient la couleur des notes de musique ! C’est très précis ! A bientôt,
les notes de musique en couleur comme les Voyelles d’Arthur Rimbaud
Voyelles
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,
Je dirai quelque jour vos naissances latentes :
A, noir corset velu des mouches éclatantes
Qui bombinent autour des puanteurs cruelles,
Golfes d’ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes,
Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d’ombelles ;
I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles
Dans la colère ou les ivresses pénitentes ;
U, cycles, vibrements divins des mers virides,
Paix des pâtis semés d’animaux, paix des rides
Que l’alchimie imprime aux grands fronts studieux ;
O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,
Silences traversés des Mondes et des Anges ;
– O l’Oméga, rayon violet de Ses Yeux !
Moi, je suis en train de donner des couleurs à des Kodama, petits Esprits qui viennent pour sauver le monde , ils vont agir là où les hommes ont totalement manqué à leur devoir vis à vis de la Terre
les Kodamas bleus glacier vont intervenir aux pôles face à la fonte rapide de la banquise )
les kodamas verts sapin pour les arbres et forêts dévastées , les kodamas terre de sienne et terre brûlée pour la terre polluée , les kodamas jaunes soleil pour le trou dans la couche d’ozone, les bleus outre-mer pour la pollution des océans et rivières, les rouges incarnat pour….
les dessiner, les peindre et les mettre en situation ….travail passionnant !!!
Il y a pire comme filet…
J’aime te savoir là, à peindre ou à écrire.
C’est toujours beau. 🙂
Merci Quichottine, moi aussi je te sens pas loin.