Ne laisse pas se refermer la chape de la taisure , laisse les mots se dirent. Ecoute, parfois ils murmurent derrière le mur, s’ils sortent ils peuvent redevenir musique.
Aveugle, à peine ébauché, il nous regarde, ce visage, pour nous dire qu’il est nous… Qui portons en nous tout ce que nous croyons voir et n’avons pour visage que cette ébauche enfantine…
Il a suffit d’un mot entendu par hasard
et la clé a ouvert la porte oubliée
il attendait depuis tant d’années
Il a suffit d’un mot entendu par hasard
pour le figé sidéré
le retrouvé lui si longtemps oublié
enfoui caché
un face à face émouvant
il n’avait pas changé
lisse le regard perdu c’était avant
avant d’avoir entendu les mots maudits
la flèche empoisonnée qui a fermé
la porte de l’innocence
Cette photo Josette t’a inspiré un magnifique texte très émouvant, des mots redevenus musique, belle poésie.
Et je pense à d’autres mots où passe l’ombre de l’aigle noir.
(Ce beau poème tu devrais le déposer dans ton blog …)
Il faut si peu pour blesser un enfant parfois quelques mots suffisent… un jour on se retrouve en face de l’enfant qu’on a été… on ne guérit jamais totalement le germe s’est endormi mais il peut ressurgir .
Enfant du silence aux yeux vides d’espoir
La joie a déserté ta jeune vie
Tu préfères fermer ton regard et garder silence
Se taire pour ne pas hurler l’innommable
Enfant du silence aux yeux vides tu es si petit
comment pourrais-tu nommer ce qui n’ Est pas.
Pour Etre, pour avoir existé, il faut avoir un nom
et l’Innommable c’est celui qui n’a pas de nom.
Enfant du silence aux yeux vides
le langage te donnera la clef
il laissera enfin sortir ton cri
Les mots peuvent redevenir musique.
Un visage mystérieux, sans nom, sans vraiment d’âge et de quel sexe…. La pierre étant muette, nous en resterons-là, à supposer…
Supposer Jill c’est admettre son existence.
bonne nuit en rêve noir et blanc.
Aveugle, à peine ébauché, il nous regarde, ce visage, pour nous dire qu’il est nous… Qui portons en nous tout ce que nous croyons voir et n’avons pour visage que cette ébauche enfantine…
Ce visage sait tout ce que Toi tu sais.
Merci pour tes mots ici Mâyâlîlâ
Il a suffit d’un mot entendu par hasard
et la clé à ouvert la porte oubliée
il attendait depuis t
Il a suffit d’un mot entendu par hasard
et la clé a ouvert la porte oubliée
il attendait depuis tant d’années
Il a suffit d’un mot entendu par hasard
pour le figé sidéré
le retrouvé lui si longtemps oublié
enfoui caché
un face à face émouvant
il n’avait pas changé
lisse le regard perdu c’était avant
avant d’avoir entendu les mots maudits
la flèche empoisonnée qui a fermé
la porte de l’innocence
Cette photo Josette t’a inspiré un magnifique texte très émouvant, des mots redevenus musique, belle poésie.
Et je pense à d’autres mots où passe l’ombre de l’aigle noir.
(Ce beau poème tu devrais le déposer dans ton blog …)
Il faut si peu pour blesser un enfant parfois quelques mots suffisent… un jour on se retrouve en face de l’enfant qu’on a été… on ne guérit jamais totalement le germe s’est endormi mais il peut ressurgir .
les vestiges enfouis peuvent ressurgir quand on fouille le passé …
Bon présent Josette
Enfant du silence aux yeux vides d’espoir
La joie a déserté ta jeune vie
Tu préfères fermer ton regard et garder silence
Se taire pour ne pas hurler l’innommable
Merci Balaline
Enfant du silence aux yeux vides tu es si petit
comment pourrais-tu nommer ce qui n’ Est pas.
Pour Etre, pour avoir existé, il faut avoir un nom
et l’Innommable c’est celui qui n’a pas de nom.
Enfant du silence aux yeux vides
le langage te donnera la clef
il laissera enfin sortir ton cri
Les mots peuvent redevenir musique.