« Au plus fort de l’ orage, il y a toujours un oiseau pour nous rassurer »
René Char
« S’intérioriser sans exagération, s’extérioriser sans démesure, savoir se tenir au juste milieu, ce sont là trois éléments d’essor »
Tchouang-Tseu
« Si la vie n’est qu’un passage, sur ce passage au moins semons des fleurs ».
Montaigne
« Aujourd’hui, je ne veux parler qu’aux arbres du jardin
laissez-moi leur parler en langage feuillu
j’ai marché si longtemps sans en savoir la suite
laissez-moi saluer leurs ombres dans la nuit »
Juan Garcia
« L’est est la direction des commencements. Du lever du soleil. Quand le soleil se lève, une porte s’ouvre vers un savoir nouveau. Inspire la lumière. Pense à ce qui peut t’aider à vivre ce jour. Rends grâce.
Les plantes, les animaux et toutes les autres créatures se tournent vers l’est pour accueillir l’aube, l’éclosion et l’épanouissement.
L’esprit du jour émerge avec le soleil. »
Joy Harjo
« Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants » Jean d’Ormesson
« Il faut avec les mots de tout le monde écrire comme personne » Colette
La poésie est ce grand mouvement de sève comme en sont peuplées les saisons.
combien de fois avons nous entendu cette phrase « plus jamais ça »
servie pour la guerre, pour la famine, pour le viol, pour les femmes, les enfants …je ne veux plus entendre cette phrase…plus jamais
dans jamais il y a mais…
Quelle mémoire !
Sérieusement… Quel village de France n’a pas sa stèle en l’honneur des noms de ceux qui ont donné leur vie pour la Nation ?
Malgré les drapeaux, les défilés et les cérémonies officielles qui rendent hommage tous les ans et invitant à la gratitude et au respect de tous, patriotisme et esprit de sacrifice y sont-ils toujours aussi présents ?
Ceci dit, la culture du souvenir se perpétue et c’est une bonne chose que de l’ancrer dans les mentalités le sacrifice ultime de ces « générations perdues » parce qu’on ne doit surtout pas occulter l’immensité de l’hécatombe.
Et à plus forte raison, un jour comme aujourd’hui.
Merci Yannucoj
Ah quand j’étais petite, pas d’obligation du genre, mais une messe avec la classe, comme à Pâques, assise aux côtés de mon amie Myriam on devait se retenir de rire, en cause le vieux bedeau, organiste et chanteur… quel organe, il chantait comme si il avait une patate chaude dans le gosier !! Les mômes, c’est pas bien méchants, mais la vieillesse fait sourire… demain on se moquera gentiment de nous, eh oui… 😉
Petit on ne sait pas tout Jill on fait des bêtises, on est nature et direct!
mais les bêtises, les incohérences des grands sont impardonnables quand ils piétinent l’expérience et le savoir de leurs pairs.
Merci Jill de venir me lire à gauche et à droite, matin et soir
Douce soirée à vous deux.