Le chemin à parcourir doit rester imprévisible.
Ne rien prévoir sur notre route ne rien attendre, s’émerveiller de l’inattendu.
Avancer en poésie c’est remercier ces ressources merveilles pulsées par la vie.
Elles font naître une poésie libre comme herbe folle.
Un brin d’herbe tendre qui pousse en harmonie au centre de l’instant.
Avancer en poésie, c’est participer à la métamorphose de notre regard.
Il faut toujours être attentif aux bruissements des herbes et des ailes. S’enthousiasmer de rien, de mystères simples, qui rendent notre route plus profonde.
JD © le 21/10/18
Des nouvelles en ce 6 novembre des deux petites rencontrées sur mon chemin. Elles n’ont pas beaucoup changé , l’une semble avoir vieillie plus que l’autre; cette autre qui semble s’étioler sous la tête jaunie de la grande.
Aujourd’hui il pleut, il ne fait pas très chaud, un vrai temps d’automne.
Apprécieront-elles l’hiver et ses frimas?
Je vous redonnerai des nouvelles à la fin du mois.
Soyons fou(gère) 🙂
Joliiiiii…. merci pour le partage, Jama !
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on gère si bien nos folies Julie !
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Entre les épines et les pierres, le vert de l’espérance sait nous tenir avec un grain de folie… 😉 comme la fougère s’épanouit !
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Tu as vu les épines Jill?
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